Chez Ford, le nom Taunus servait à désigner la berline haut de gamme, ce nom a commencé a être apposé dans les années 30 et à pris fin dans les années 1980. Il est à noter que la taunus a été décliné en une multitude de versions, elles-mêmes déclinées en sous-versions, pas facile de s'y retrouver donc. 

         Pour cet article, nous avons une Taunus 17M RS datant de 1970, il s'agit donc d'une Taunus type P7B, la cinquième génération de taunus. La P7B a été produite seulement entre 1969 et 1971, elle fut lancé en 1969 suite à l'effondrement des ventes de la taunus type P7, qui obligea Ford à restyler sa berline. 

           La taunus type P7B était disponible en plusieurs motorisation, la plus petite s'appelait 17M, la plus grosse la 26M, avec, entre ces deux, la 20M. La Taunus de cet article étant une 17M, il s'agit donc d'une "petite" Taunus, disponible avec deux V4 (1,5 ou 1,7l) ou un V6 (1,8l).

          mais voilà, il ne s'agit pas pour cet article que d'une simple Taunus 17M, mais d'une version RS, qui est équipé d'un moteur un peu plus gros, le V6 de 1.998cm3. Celui-ci développe 118Cv et permet à l'auto d'atteindre les 160km/h. 

           Cette Ford Taunus 17M RS est dans un très bel état, une très bonne chose pour cette auto, que l'on ne croise plus beaucoup en dehors des concentrations, encore faut-il en voir en concentration. De plus, cette Taunus n'est pas attaquée par la rouille, ce qui était, comme beaucoup de voiture de cette époque, leur maladie. 

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         La Simca Aronde est une berline produite entre 1951 et 1963, douze années de carrière ou elle fut déclinée en trois versions, la 9, la 1300 et la P60. L'aronde fut pour Simca un grand succès, puisque la marque à l'hirondelle en écoula plus d'un million d'exemplaires, une première pour eux. 

          pour cet article, c'est la toute première version de l'Aronde qui nous intéressera, l'Aronde 9, et pour cause, nous avons là un magnifique exemplaire datant de 1952, un des premiers exemplaires donc, que l'ont reconnaît, jusqu'en 1953, par leur calandre en escalier. 

            Un des premiers exemplaire d'Aronde ? pas tout a fait, puisque les Aronde de 1951 avaient le pare-chocs arrière en une seule pièce, contre trois à partir de 1952, tel que l'exemplaire qui illustre cet article. Autre détail, les premières Aronde avaient un monogramme de calandre à fond noir. 

          Côté moteur, cette Simca Aronde 9 embarque un quatre cylindre en ligne de 1.221cm3, qui était dérivé d'un moteur Fiat et qui était monté sur la Simca 8. Ce moteur développe 45Cv, et était couplé à une boite à quatre rapports, il permettait à l'auto d'atteindre les 125km/h. 

          Cette Simca Aronde 9 est dans un très bel état, une très bonne chose pour cette version de l'Aronde qui ne court plus les rues, hélas. Elle se présente avec aucun défaut du côté de la carrosserie, même les chromes sont en bon état (la maladie des Simca), ce qui laisse présager que cette auto a été restaurée. 

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          La Citroën GS est une berline de classe moyenne qui fut produite entre 1971 et 1986, elle vient compléter la gamme Citroën et s'insère entre l'Ami8, très simple, et la DS, le haut de gamme. C'est ainsi que la GS reçoit une carrosserie aérodynamique, des suspensions hydropneumatique ... 

            Pour cet article, nous avons une Citroën GS datant de 1978, on est donc dans la première série des GS, qui court de 1970 à 1980, où elle recevront alors des pare-chocs en plastique. Il faut également rappeler qu'à partir de 1976, les GS reçoivent de nouveaux feux arrières qui perdent leur chrome notamment, ainsi qu'une nouvelle calandre à moustache en lieu et place de la calandre nid d'abeilles. 

           La GS présenté dans cet article se présente dans la version Pallas, c'est à dire la version haut de gamme, qui fut proposée entre 1974 et 1979. La Pallas se distingue surtout par son intérieur mieux fini, au sol, on retrouve des grosses moquettes, les fauteuils quant à eux sont soit en cuir, soit en velours. 

          De plus, la GS Pallas recevait un moteur un peu plus gros, le quatre cylindres à plat passe alors à 1.222cm3, ce qui en faisait le moteur le plus gros de la GS, avant l'arrivée de la série 2. le moteur de la GS Pallas développe 59Cv, ce qui lui permet d'atteindre les 150km/h en vitesse maximale. 

          Cette GS Pallas est dans un bel état, et surtout, elle est entièrement d'origine. Cet exemplaire n'est pas parfait, on voit ici et là des bosses sur la carrosserie, des accrocs sur les pare-choc, ce qui montre que c'est une voiture qui a du vécut, mais plus important, cette GS n'est pas attaqué par la rouille, car c'était bien là le plus gros défaut des GS, notamment en version Pallas. De plus, cette GS arbore une teinte d'époque et assez rare, le brun cigale. 

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          La BMW Z1 est un roadster présenté au Salon de Francfort 1987, cette voiture surprend alors tout le monde, puisque BMW avait abandonné le segment des roadster depuis 1969 et l'arrêt de la célèbre BMW 507. Commercialisée entre 1988 et 1991, la BMW Z1 fut produite à 8.012 exemplaires, ce qui en a rapidement fait un collector. 

         Mais au delà d'être un collector au vu du faible nombre d'exemplaires, la BMW Z1 est un collector dans le sens ou elle est une voiture historique pour la marque bavaroise, elle lui permet de renouer avec les roadster, comme je l'ai déjà dit plus haut, mais elle préfigure aussi ce que seront les futurs roadsters de la marque, les célèbres Z3, Z4 ... D'ailleurs, le Z provient de Zukunft, qui signifie futur en allemand. 

              La ligne du BMW Z1, inimitable, et très futuriste à la fin des années 1980, avait été extrêmement travailler chez BMW pour favoriser l'aerodynamisme, ainsi, la Z1 a un Cx de 0.43 décapoté, 0.36 une fois la capote repliée. 

          Côté moteur, la Z1 pioche dans la banque de pièce de BMW et choisit un six cylindres en ligne de 2.494cm3, un moteur qui provient de la BMW E30 325i, et qui développe 170Cv. Hélas, la boite de vitesse était mal adaptée, ce qui se faisait ressentir sur les performances, qui sont en dessous de ce que l'on pouvait attendre. En revanche, la grande qualité du Z1 provient de sa tenue de route, grace à une très bonne répartition des masses. 

             Autre qualité du Z1, c'est sa fiabilité, on a dans la Z1 un moteur (de qualité allemande) qui a déjà été éprouvé sur d'autres modèles. En revanche, et c'est là le problème avec les voitures peu diffusées, toutes les pièces spécifiques sont chères, la carrosserie, l'échappement, et la capote surtout, qui est hélas fragile sur la Z1. 

          La BMW Z1 de cet article date de 1990, l'avant dernière année de production donc, et se présente dans un très bel état, le seul petit défaut qu'on peut lui reprocher, le manque de la trappe a essence. Hormis cela, cette Z1 est dans son état d'origine,e t c'est un des 347 exemplaires français, que l'ont reconnaît avec ses feux avants jaunes.

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          La Renault 5 est une citadine produite à partir de 1972 sur la base de la Renault 4, sa commercialisation s'arrêta en 1986 où elle fut remplacée par la Renault Super5. Au final, c'est une voiture qui fut un grand succès pour Renault, puisque c'est plus de 5,5 millions d'exemplaires qui ont été fabriqué. 

          Pour cet article, nous avons une Renault 5 SuperCampus, une série spéciale qui a été commercialisée en 1984. La version SuperCampus a été lancé suite au succès rencontré par la R5 Campus en 1983, mais la SuperCampus recevra un moteur un peu plus gros, puisque la Campus avait été faite pour écouler les modèles équipé du moteur 845...

           Ainsi, la SuperCampus reprend les principaux équipements de la Campus : le becquet, les boucliers avant équipés de spoiler, les stripping, les jantes style gordini, le toit entrebâillant et j'en passe. Renault y rajoute au passage un essuie-glace arrière, ainsi que trois teintes disponibles : le bleu Versailles, le Bordeaux et le Jaune Van gogh, cette dernière étant la couleur la plus rare, et celle du modèle en photo pour cet article. 

           Côté moteur, et c'est là le changement  par rapport à la R5 Campus, la SuperCampus reçoit le moteur de 956cm3, qui est bien évidement un quatre cylindres en ligne, et qui est accolé à une boite à quatre rapports. Le tout développe 44Cv, ce qui permet à la voiture d'atteindre un petit 136km/h en vitesse maximale. 

             La Renault 5 SuperCampus de cet article est dans un bel état, et se retrouve en plus avec la teinte la plus rare, le jaune Van Gogh. Le seul petit défaut qu'on peut trouver à cette voiture, ce sont les plastiques qui ont mal vieillit et qui sont décoloré ... Enfin, cela n'est qu'un détail pour une voiture qui, dans cette version, n'a été produite qu'à 5.000 exemplaires...

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