L'Opel Kadett est une longue lignée de voiture produite entre 1962 et 1993, 31 ans de production ou seul le nom reste la chose commune, car cinq versions totalement différentes se sont succédées. Pour cet article, nous avons une Kadett D, dont la quatrième version, produite entre 1979 et 1984. 

          la Kadett D avait une lourde tâche, succéder à la Kadett C qui été devenue un des modèles le plus vendu de la marque. Mais surtout, la Kadett D innove, puisqu'elle est la première traction avant de la marque, une tâche forcément ingrate, qui fait qu'aujourd'hui encore, elle reste boudée par les fans d'Opel. 

          Autre innovation de la Kadett D, fini la ligne classique des berline, la Kadett prend une ligne bicorps et adopte un hayon, du moins pour les versions 2 et 5 portes. De manière très brève, des versions 2 et 4 portes ont existé, reprenant la caisse de la Kadett D mais dont la vitre arrière est fixe, avec une petite porte de coffre. 

           Même si elle est boudée, la Kadett E avait néanmoins une qualité que l'on ne peut nier, sa grande fiabilité sur le plan mécanique, en faisant une voiture quasiment indestructible. Opel proposait diverses motorisations, tous des quatre cylindres en ligne allant de 1,2 à 1,8 litres, en passant par 1,3 et 1,6 litre, et des puissance allant de 53Cv à 115 pour la sportive GTE. 

           Mais voilà, en dépit d'une bonne mécanique, comme beaucoup d'auto de son époque, la Kadett D souffre de la rouille ! Heureusement, l'exemplaire qui illustre cet article en est rescapé, puisqu'elle se présente dans un état très proche du neuf, sûrement du à une restauration, preuve que la Kadett D n'est pas si boudée que cela ! Et en plus, celle-ci présente deux équipements assez rares, les phares ronds et la calandre avec longues portées intégrées ! 

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            La Citroën GS est une berline de gamme moyenne, qui fut produite entre 1970 et 1986. Elle vient s'intercaler, à sa sortie, entre la luxueuse DS, et la rustique Ami8. La GS est indéniablement une voiture moderne, reprenant la suspension hydropneumatique et adoptant une carrosserie aérodynamique. 

           Un an après sa sortie, Citroën décline la GS en une version break, qui servira par la suite à diverses déclinaisons commerciales, entre break service vitré ou tôle , quasiment introuvable de nos jours. On a un peu plus de chance avec les versions break, à l'image du modèle que nous avons pour cet article. 

           Pour cet article, nous avons une GS Break datant de 1972, une des premières versions de GS Break donc, reconnaissable par leur calandre en nid d'abeille. Les GS de la première série sont quant à elles reconnaissables par leur pare-chocs chromé, qui à partir de 1980 deviendrons en plastique. 

              Mais pour cet article, nous avons un break assez rare, puisque la dénomination de cette GS est "GS break", tout simplement. Or, la quasi totalité des GS break avaient en plus de ce nom, une finition comme par exemple "GS Club ...". Et le nombre de ces exemplaires est assez faible ! 

             Côté moteur, c'est un quatre cylindres à plat qui prend place sous le capot, Citroën proposant diverses versions allant de 1.015 à 1.299cm3, et des puissances comprises entre 55 à 65Cv DIN. 

            Cette Citroën GS Break est dans un très bel état, c'est une voiture qui a toujours été entretenue, donc saine. En plus d'être belle, elle est assez rare, puisque les modèles survivants nommées juste "GS break" se compteraient sur les doigts d'une main ! Hélas, on en comptera une de moins, cette GS ayant malheureusement été accidenté ! 

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          La Porsche 356 est une voiture mythique, puisque étant la première Porsche, dont le dessin est du au célèbre Ferdinand Porsche. Produite de 1948 à 1965, elle fut produite à plus de 86.000 exemplaires, un très grand succès pour une voiture artisanale. Et l'aventure Porsche fut ainsi lancée ... 

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liste des articles

 356 AT2 - 1959

 356 BT6 - 1962     356 AT1 - 1956   

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          La Renault Fuego est un coupé qui fut lancé en Mars 1980 au salon de Genève, et dont la production continuera jusqu'en 1992, mais en Argentine, car en Europe, la fin de commercialisation est fait en 1985. Produite à 265.000 exemplaires, la Fuego, bien que "boudée" dans le monde de l'automobile de collection, se retrouve dans les quatre coins du monde et a marqué les années 1980 ! 

          La Renault Fuego est développée dans le même laps de temps que la R18, dont elle reprend diverses solutions techniques, tel que le moteur longitudinal, la traction avant, l'essieu arrière rigide, mais surtout la base de la R18 Break, ce qui lui permet d'avoir un comportement routier assez similaire. En revanche, par rapport à la R17 qu'elle remplace, Renault décide d'abandonner l'injection électronique et les quatre freins à disque. 

          Mais là ou Renault fait une révolution, c'est surtout au niveau de la ligne, signée par Robert Opron tout juste débarqué de chez Citroën, et père notamment des SM ou CX. Cette ligne moderne, voire même audacieuse en son temps, avait une très bonne aérodynamique, affichant un Cx de 0,34 ! 

           Malheureusement, Renault n'ira pas jusqu'au bout, en sous motorisant la Fuego, qui, à sa sortie, ne proposait aucun moteur véritablement sportif, et ceci se ressenti assez rapidement sur les ventes : après un bon démarrage, les chiffres diminuent aussi vite qu'ils ne sont montés ! 

          Et malgré tout les efforts de Renault pour redorer le blason de sa Fuego, en augmentant la puissance des moteurs, allant jusqu'à 132Cv pour la version Turbo, et en restylant la voiture en 1984, le mal était fait, d'autant plus qu'en face, les GTI arrivaient, avec une véritable image sportive et un prix moins cher. Et renault ne produira plus de voiture dans le segment des coupés (si ce n'est des versions berlines coupés), avant le retour de la Laguna Coupé ! 

         Pour cet article, nous avons une Fuego GTL, de la première série, reconnaissable à sa calandre à 6 barrettes (qui passe à 4 barrettes à partir du restylage de 1984). La GTS disposait d'un moteur de 1.647 cm3 (un quatre en ligne), qui développait 96Cv, et qui était la version la plus puissante à la sortie de la Fuego, avant que les GTX arrivent en 1981 ! Aujourd'hui quelque peu boudée, la Fuego commence à refaire son entrée dans le monde de la collection, surtout en présence de très beaux modèles comme celui qui illustre cet article ! 

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         Cette année, l'élection de Miss France "Endemol" se déroule à Limoges, les prétendantes au titre sont arrivées dans la ville hier et ont fait leur première apparition publique aujourd'hui, une première sortie pour procéder à une parade dans Limoges à bord de voitures de collections. Ainsi, les plus beaux véhicules de collection du coin étaient présent, réunissant les deux grands club limougeaud ("les rétromobiles limousines" et "l'auto rétro limousin"), avec un plateau d'une petite vingtaines d'auto, allant de la Traction à la Delage, passant par les grandes marques françaises d'antan comme Hotchkiss, Salmson et j'en passe ... Bref, place aux photos des voitures ! 

Sans doute la plus belle du lot, une Talbot T23 Major Cabriolet ! 

Mais les autres ne déméritaient pas, avec de très belles Hotchkiss ! 

Une Rare Salmson S4 de 1949 ! 

Une Buick des années 1920. 

Une Peugeot 201

Bentley Mark V

Des Citroën Traction ...

Deux C4 Citroën.

Une bien belle Simca Chambord

Une Rolls Royce. 

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